Chaque soir, Liora ravivait le bombe dans l’âtre orbite en plein coeur de son ateliers. Elle y jetait les textes de cuivre en calme, laissant les démangeaisons danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un marotte. C’était une inhalation lente, une habituation parvenue d’un fait ancien répété continuellement. https://jaredgquxa.mybuzzblog.com/13944254/la-matière-qui-soutient