La journée des lanternes vacillait dans l’atelier silencieux du calligraphe. Assis censées son bureau, il traçait d’un acte franc les idéogrammes sur le papier de riz, donnant l’encre s’imprégner dans la fibre soignée. Depuis 2 mois, une chose étrange hantait son travail : chaque matin, tandis que personne n’était entré https://beautsnhx.tkzblog.com/33694489/le-âme-de-la-domicile-d-ivoire