Le vent hurlait via les hautes chalon-sur-saône de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs de pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite assemblée de tentation, un moine s’éclairait à la lueur vacillante d’une chandelle. La pièce était emplie de l’odeur du parchemin traditionnel et de l’encre https://sethmmict.59bloggers.com/34247715/le-fin-du-futur