Le grimoire d’ivoire reposait devant lui, silencieux et permanent, mais il n’était plus vide. Les initiales malsaines qui avaient émergé à le support de la chronique portaient une lourdeur indisctinct, tels que si elles s’accrochaient à l’air à proximité d’elles. Tout ce qui est lu modifie ce qui est aperçu. https://travisvkudm.losblogos.com/32923957/l-encre-de-la-destinee