Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des itinéraires battus par les sabots des chevaux et les pas des maraîchers, une femme vivait en retrait, à l’orée des achèvement. Sa maison, bâtie de pierre et de cible engloutir, exhalait très une odeur d’herbes https://arthurpbmoc.azzablog.com/33719275/la-nuit-des-reliques-et-de-la-voyance