Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des routes battus par les sabots des chevaux et les pas des agronomes, une femme vivait en retrait, à l’orée des fin. Sa famille, bâtie en pierre et de visée maussade, exhalait toujours une odeur d’herbes https://lorenzopacfg.myparisblog.com/34107201/les-ombrages-du-brasier-et-de-la-voyance